Éducation
Madagascar
Depuis plusieurs décennies, les Petites Franciscaines de Marie s’investissent avec dévouement dans le domaine de l’éducation à Madagascar. Fidèles à l’esprit de leurs Fondatrices, elles poursuivent une mission profondément humaine et évangélique : former le cœur et l’esprit, accompagner la croissance des jeunes et semer les valeurs de paix, de fraternité et d’espérance. À travers leurs écoles, les sœurs contribuent à bâtir un avenir meilleur pour les enfants et les familles, en offrant un enseignement de qualité accessible à tous, sans distinction de milieu ou de religion.
Aujourd’hui, quatre établissements scolaires sont administrés par la congrégation :
L’École Saint-François d’Assise, quartier de Marodoka , paroisse Notre-Dame-de-l 'Assomption (diocèse de Maintirano) - 1968
Le Lycée Sainte-Claire, à Morafenobe (diocèse de Maintirano) - 1976
L’École du Sacré-Cœur, à Tsiafahy (diocèse d’Antsirabe) - 2017
Le Collège Sainte-Cécile, à Androtra (diocèse de Tsiroanomandidy) - 2020
En plus de ces établissements, la congrégation soutient une petite école subventionnée par une bienfaitrice canadienne qui est gérée aussi par le département de protection sociale d’Anosibe, l'école Rakotomanonjy de la paroisse de St-Jérôme - 2013
Découvrez les écoles
Québec
Surprenant peut-être que l’éducation ait débuté dans l’ouest américain?
Dès l’automne 1901, en réponse aux appels du curé de Marinette, petite agglomération du Wisconsin, Mère Marie-Anne-de-Jésus envoie quatre religieuses pour prendre en main la direction de l’école paroissiale.
En 1902, l’état voisin, le Michigan réclamera des Sœurs Brunes pour deux centres franco-américains : Menomenee en 1907 et Marquette en 1911.
En 1923, il parut donc plus conforme à la prudence et à la justice de remettre, non sans regrets, en d’autres mains compétentes les écoles de l’ouest, pour pouvoir concentrer les efforts vers l’est, aux établissements scolaires du Maine : Skowegen (1902), Eagle Lake et Fort Kent (1906) et Wallagrass (1907).
Ensuite, ce sera le tour des écoles du Québec : dans la paroisse Saint-François-Solanno, Montréal, l’école Madekeine d’Ailleboust(1912), dans la paroisse Saint-Jean-Vianney, Montréal, école Marie-Rollet (1920),Saint-Jean-de-Québec (1928).
Presque chaque année se succédera la prise en charge des écoles de Charlevoix, du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Saint-Augustin, 1970-1980 et de la côte nord : Pointe-au-Pic (1913; Saint-Urbain (1914); Saint-Tite-des-Caps (1917); Saint-Siméon (1921); Tadoussac et Clarke-City, Côte-Nord, (1924); Les Éboulements (1925); Dolbeau, École Sainte-Thérèse-d’Avila (1928); paroisse Saint-Cœur-de-Marie,(1928); paroisse Saint-Yves, Québec (1962); Dolbeau, École-Normale (1952); Saint Nazaire (1942); Saint-Honoré (1943); Petite-Rivière-Saint-François-Xavier (1944); Les Escoumins, Côte Nord (1945); Chicoutimi, enseignement à l’Orphelinat et Institut Familial (1949); Saint-Irénée, Institut Familial (1945), école Paroissiale (1956); Iles-aux-Coudres, paroisse Saint-Bernard (1950) et Paroisse Saint-Louis (1962); Saint-Aimée-des-Lacs (1962). Dois-je ajouter une Petite Franciscaine chargée de cours au Centre de Spiritualité Manrèse pendant quelques années, de même que chez les Frères du Sacré-Cœur à Rome, ainsi que de la formation au discernement spirituel, au Brésil et à plusieurs autres endroits.
Si on regarde tous ces endroits où nous avons enseigné, des milliers d’enfants, de jeunes et d’adultes ont bénéficié de l’éducation offerte par les Petites Franciscaines de Marie.
États-Unis
Les sœurs ont également joué un rôle central dans l’enseignement, participant activement à la formation intellectuelle, humaine et spirituelle de nombreuses générations d’enfants. Elles ont enseigné dans plusieurs écoles du Maine, notamment :
-
Wallagrass, Maine (septembre 1898)
-
Saint Louis School, Auburn, Maine (1904)
-
Eagle Lake, Maine (présence de quelques sœurs)
-
Saint Louis School, Fort Kent, Maine (Main Street) (1906)
-
Market Street School, Fort Kent, Maine (1955)
-
Fort Kent Elementary School (Pleasant Street)
Par leur présence éducative, les sœurs ont transmis bien plus que des savoirs : elles ont semé des valeurs de respect, de solidarité et de foi, contribuant durablement au tissu social des communautés qu’elles ont servies.

